Lors de nos sorties en sauna libertin, c'est très rare que nous trouvions sur place un partenaire qui remplit nos critères. Oh ! les candidats ne manquent pas. Mais nos critères sont précis: jeune homme vraiment bi et pas gros. Qu'il parle français n'est pas une exigence. Mais jusqu'à hier, les candidats semblaient plutôt utiliser cette absence comme une excuse: "je ne parle pas français, donc laissez-moi m'amuser avec vous".
Un couple de nos amis m'avait proposé de les rejoindre dans un sauna près de Mulhouse. Classiquement, d'autres jeunes hommes qui devaient nous rejoindre brillaient par leur absence. Nous nous étions amusés à trois, notamment avec des lanières. Je m'étais dit qu'elles devraient mettre en valeur la poitrine plus qu'opulente de la dame, ainsi que la bite de son mari.
Allait-on continuer de jouer exclusivement tous les trois ? Au moment d'entrer dans une cabine, un jeune qu'on avait déjà remarqué nous fait signe qu'il désirait nous accompagner. A la question rituelle "est-ce que tu es bi ?", il a répondu par un "moi, pas parler français". Ca n'augurait rien de bon. Par gestes très explicites, le mari lui a demandé s'il était prêt à sucer les hommes. Comme le jeune homme acquiesçait, nous l'avons laissé entrer. Mais à peine à l'intérieur de la cabine, je lui ai demandé de montrer sa bonne foi, en lui donnant ma bite à sucer. A notre grande surprise, il s'est exécuté. Nous l'avons donc autorisé à s'amuser avec la dame, qui lui ouvrait déjà ses cuisses. On sait qu'elle préfère les léchouilles douces, mais comment le faire savoir à notre partenaires originaire d'ex-Yougoslavie ? J'ai bien essayé l'anglais en plus du français. Mais devant son regard hébété, une voie plus expressive s'est avérée nécessaire. Une fois qu'il s'est installé à quatre patte, je lui ai donné une tape très douce sur une fesse, en lui disant "comme ça", puis une vraie claque, bien sentie, en lui disant "PAS comme ça". Il semblait avoir compris, mais à l'invitation de notre amie, j'ai dû réexpliqué la technique plusieurs fois. Ce qui n'était pas pour me déplaire. Notre partenaire avait en effet un beau fessier, pulpeux sans être gras, que j'aurais volontiers puni plus sévèrement. Surtout qu'il ne se rebellait pas contre mes claques sonnantes et trébuchantes. J'optai plutôt pour lui travailler la rondelle, d'un doigt, puis d'un second, avant qu'il ne m'arrête de façon explicite. Le mal était fait. J'arborais désormais une belle turgescence qui ne pouvait rester inassouvie. C'est dans l'anus du mari que je suis allé la nicher, le plaçant en soixante-neuf au-dessus de notre partenaire, qui pouvait ainsi continuer de doigter la dame, qui accompagnait son mari dans un joli duo buccale sur le matos balkanique. Le jeune homme aurait bien voulu glisser son membre bien dur dans la chatte de la dame. Mais on lui a expliqué qu'il devrait se contenter de ses doigts. Petit rappel de la façon de procéder: clic-clac. Une bite dans chaque main plus une autre dans la bouche: une figure idéale pour commencer une ascension aux rideaux. Gémissements et miaulement nous ont guidé vers une apothéose particulièrement sonore et entremêlée d'un fou rire, à défaut d'être jaillissante. Mais on sait qu'à cause des restrictions d'eau, les femmes fontaines doivent s'abstenir entre 14 heures et 18 heures * ! Notre ami, lui, ne s'est pas abstenu. C'est moi-même qui l'ai achevé à la main sur l'opulente poitrine qui n'attendait que ça. Il est reparti tout souriant en nous gratifiant plusieurs fois d'un mot qu'il maitrise: merci ! De rien et pareillement.
* emprunt à Alison Wheeler
CplprJhBiSauna6
5882 km, Femme 56 / Homme 56
publié il y a 1 an
inscrivez-vous !