J'ai une petite préférence pour les chattes bien propres et
parfaitement rasées. J'aime quand ça met en valeur la forme des lèvres du
clitoris. Ma femme le sait et dès que des poils presque microscopiques
poussent, une séance d'épilation s'impose. Malheureusement, les femmes avec qui
je baise au club échangiste peuvent parfois avoir toute une forêt sans qu'elles
en soient gênées. Un groupement de poils triangulaires sur le pubis, ça passe
encore. Je déteste par contre quand l'entrée est presque couverte. Ça laisse un
effet dégoutant et ça touche un point important sur le côté hygiène.
Ma dernière partenaire au club était plutôt satisfaisante. Elle avait un corps bien entretenu. Je me souviens encore du parfum fruité de sa lotion intime. Hier, c'était l'horreur ! J'ai joué au séducteur avec une belle femme qui était venue avec son mari. Ce dernier était directement allé au bar. J'ai donc pu aborder la jeune femme sans souci. Et comme d'habitude, ça finissait dans la zone des câlins. J'étais plutôt heureux et je pensais que j'étais en bonne compagnie. La femme paraissait perfectionniste et plutôt soucieuse sur son apparence. Mais dès que j'ai inséré ma main dans sa culotte ? punaise !
Elle ne s'était sûrement pas rasée depuis 3 mois. Sa chatte
était couverte de poils dans tous les coins. Je redoutais ce moment où je
devais affronter une telle situation. Maniaque comme je suis, un simple toucher
a remis mon envie à zéro. Ce n'est pas facile. Je me demandais même comment son
mari pouvait supporter de lécher ou de pénétrer ce vagin. Moi, je pouvais à
peine toucher les bords de son clitoris, tout en gardant un air sceptique et
hésitant.
Certains hommes aiment les
vagins poilus, une préférence que je n'arrive pas à comprendre à vrai dire.
Pour moi, j'ai toujours l'impression que c'est sale et que ça dégage une odeur
désagréable. Cette femme-là, elle était plutôt propre et elle a sans doute pris
une bonne douche avant de venir. Mais je ne voulais pas la pénétrer. J'ai donc
eu l'idée de faire les choses autrement étant donné que je devais jouer le jeu.
Je devais satisfaire la jeune femme et éjaculer sans pénétrer.
Une fellation, c'était la solution ! Je n'étais pas
pourtant égoïste. J'ai léché et caressé vigoureusement ses seins. Pour la faire
succomber, les coups de chaleur dans le coup, ça marche toujours. Et puis, elle
s'est mise à s'accroupir pour mettre mon pénis dans sa bouche. Ce sera
comme ça jusqu'à la fin, me suis-je dit. Je devais accélérer l'éjaculation.
J'ai donc imaginé des scènes érotiques intenses dans ma tête, le temps que la
jeune femme me lèche la queue. C'était plutôt forcé. En moins de deux, j'ai
sorti la commission. Je n'étais pas entièrement satisfait, elle non plus. Mais
il faut dire que c'était le compromis pour que la soirée au club ne se tourne
pas au vinaigre.
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