Quelques semaines plus tard, elle m'a invité chez elle. Une
fois à l'intérieur, elle m'a demandé si je voulais coucher avec elle. Marie a posé
cependant la condition que je lui obéisse. J'aurais fait n'importe quoi pour
elle, donc j'ai accepté sans me poser de questions.
Sur ses ordres j'ai dû me déshabiller. Lorsqu'elle a vu ma
petite bite, elle a gloussé et l'a touchée du bout des doigts. J'étais aussi
dur qu'un roc. Elle m'a dit de la suivre dans la chambre et m'a guidé en
serrant ma petite érection. Ensuite elle m'a fait allonger sur le lit avec un
gros oreiller sous mes fesses me tenant bien en l'air. Elle m'a attaché les
mains et les pieds et j'ai répondu oui à sa question. Sur ce elle a mis du lubrifiant
chaud partout sur ma petite bite et mon trou du cul, puis elle a quitté la
pièce en disant qu'elle reviendrait dans un instant.
Quelques minutes plus tard, Marie est revenue avec des talons hauts, des bas rouges et des porte-jarretelles. Elle a lentement commencé à me baiser de plus en plus profondément jusqu'à ce que son doigt soit pleinement enfoncé. Elle a mis ses seins sur mon visage pour me les faire sucer. Elle m'a baisé fort pendant un moment puis a quitté la pièce. Environ une heure plus tard, elle est revenue et a délié mes jambes. Elle m'a fait enfiler une culotte sexy, des bas roses et des talons hauts rouges, m'a mis du rouge à lèvres, puis a pris plusieurs photos de moi. Sur quoi elle m'a ordonné de la baiser aussi fort que je le pouvais.
Pendant les six mois qui ont suivi nous avons joué ensemble
trois ou quatre soirs par semaine. J'étais sous son emprise. Elle me faisait
porter de la petite lingerie et s'amusait avec moi selon son humeur. A peu près
une fois toutes les deux semaines, elle s'asseyait sur ma petite bite et après
avoir tiré ma charge, je dégustais sa chatte proprement. Une nuit m'a ordonné
d'aller me changer. Sur le lit il y avait une tenue assortie à porter. Une fois
habillé, je me suis fait attacher au lit, avant qu'elle ne quitte la pièce.
Quinze minutes plus tard, je l'ai entendue venir vers la
chambre en train de parler avec quelqu'un. Ils sont entrés. C'était Stéphane.
Il m'a regardé, a souri et a dit « regarde cette poule mouillée ».
Pendant les heures suivantes, j'ai regardé Marie sucer sa grosse bite, l'embrasser
profondément avec une vraie passion, sucer ses seins, manger sa chatte et son
cul. Je l'ai regardée chevaucher son énorme bite. Je l'ai vu jouir sur sa
poitrine, dans sa bouche, dans sa chatte qu'elle m'a fait lécher pour conclure
cette nuit cuckold.
Pendant les deux années suivantes, Stéphane est venu chaque
semaine au moins une fois et j'ai été obligé de regarder ma femme baiser et sucer
son amant. Quand ils avaient fini, j'étais obligé de le sucer et de la lécher
proprement. Je l'appelais Maîtresse, elle m'appelait son petit cocu chéri. Même
si j'en étais fier et que j'aurais aimé me confier à quelqu'un, personne au
travail ni aucun membre de notre famille et de nos amis ne sont au courant. Ils
ne le croiraient pas ou seraient tellement choqués qu'ils ne chercheraient même
pas à comprendre. De toute façon, c'est quelque chose que l'on ne peut pas se
permettre de raconter au bureau ou lors d'un dîner de famille. C'est trop mal
vu pour s'offrir ce privilège. Je me demande en revanche si les autres l'ont
déjà remarqué dans mon attitude plutôt servile. Bref, je m'égare.
Elle a finalement perdu tout intérêt pour Stéphane, mais au
cours des cinq dernières années, elle a eu de nombreux amants. Des hommes
venaient et j'ai été forcé de la regarder prendre du plaisir avec d'autres.
Petit à petit cela est devenu tellement banal que j'ai fini par m'en lasser.
Mais il est très difficile de s'extirper d'une relation telle que la nôtre.
C'est pourquoi je continue à lui faire plaisir par amour mais sans vraiment me
satisfaire moi-même. Mais n'est-ce pas cela le rôle d'un cocu soumis ?
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