« Je te passe ma
femme et tu me laisses la tienne ? », c'est comme ça que la
discussion a commencé. Il n'y avait rien de sérieux. C'était une blague qu'on s'est
faite après une réunion tardive au bureau. Je cherchais ce jour-là un plan
intéressant pour occuper la soirée avec ma femme. Un peu de tranquillité devant
une série et qui finit en ébat sous la couette, ça me tentait. Après cette
journée exténuante, il fallait trouver quelque chose alliant détente et
plaisir.
Mais le fait de parler de sexe avec mon collègue me titillait l'esprit. Il est marié avec une belle femme qui, à une certaine époque, faisait battre mon c?ur. Personne ne sait pour le fantasme de ma femme et moi. On a l'habitude d'organiser des plans cul à l'abri des regards. J'ignorais également comment mon collègue pouvait réagir face à ce type de pratique sexuelle. Qui sait, c'est peut-être un homme qui trouve du plaisir avec les rapports sexuels à l'ancienne en brouette ou en levrette. Je ne l'imaginais pas échangiste ?
Le programme avait changé pour la soirée. Au lieu d'un plan
ciné, ma femme et moi, on avait décidé de prendre deux ou trois verres au
resto-bar, et avec un peu de chance, on pensait qu'on tomberait sur un couple
de libertins. On a d'abord commandé quelques plats et discuté un peu, et juste
au moment où l'on décidait de rentrer, voilà mon collègue et sa femme en train
de franchir la porte. Une bonne raison pour faire demi-tour. On a pris une
table pour quatre et discutait de tout et de rien pendant un instant.
J'étais certain que le couple ne venait pas uniquement pour
manger. Sa femme était sublime. Plutôt bavarde comme dans mes souvenirs, elle
ne pouvait s'empêcher de laisser s'échapper quelques mots sur la raison de leur
venue. « Il faut que ce soit un bel
homme », disait-elle à son mari. C'était le signal d'alarme. Ce sont
des échangistes ! Pour moi, c'était l'occasion parfaite, encore faut-il que
mon collègue accepte que ça se passe entre deux couples qui se connaissent très
bien.
J'ai donc essayé d'être le
plus naturel possible. J'ai dit à ma femme que pour cette soirée, on allait
devoir rentrer, car aucun couple de libertins ne se pointe. « Vous aussi ? », demanda la
jeune femme de mon collègue. Tout le monde riait à vive voix. Qui aurait cru
que derrière une telle discrétion au boulot se cachait un fantasme
commun ?
Tout à coup, j'avais le visage éclairci et une meilleure
mine. Je savais que j'allais finir la soirée dans le vagin de la femme dont
j'étais amoureux il y a longtemps. Je ne faisais pas trop allusion aux
sentiments. Je ressentais plutôt de l'excitation à l'idée d'avoir un plan sexe
avec une personne avec qui je me sens à l'aise. Ça allait être agréable !
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